À Noël tout s’illumine ! nos rues, nos vitrines, nos maisons et les guirlandes électriques clignotent comme un clin d’œil dans la nuit froide et noire ...

Mais la seule lumière qui peut encore briller dans les larmes des  oubliés de la fête et faire chanter les anges dans nos campagnes,  c’est celle de l’Espérance qui est le vrai cadeau de NOËL

Noël est annulé, Joseph a avoué !

Pas question, d’autre part, de priver le bonhomme à la barbe blanche et ses clônes de leur gagne-pain saisonnier par ces temps de chômage,

cette fausse info a été annoncée sur Fessebouc ... c’est un Hoax !

ATTENTION ! beaucoup de nouvelles

mal intentionnées circulent sur internet

qui ne sont pas toutes

‘’paroles d’Evangile» !

mais ne lui laissons quand même pas prendre la place du Bon Dieu !

Le mot-clé de cette nuit unique entre toutes,

ce n’est pas ho, ho, ho ! mais :

‘’Gloire à Dieu et paix sur la terre aux hommes qu’il aime’’

c’est ce que chantaient les anges  aux bergers de Bethléem quand le Prince de la PAIX est né !

‘je suis le chemin’ a dit Jésus le Christ :

y a-t-il un autre chemin qui mène à la

PAIX que celui de l’AMOUR  ?

Nous sommes bien loin d’avoir concrétisé cet

amour dans nos vies, spécialement par ces

temps  de conflits, où,  la haine et la violence

semblent l’emporter sur les relations fraternelles ...

Aurions-nous oublier que Jésus a dit aussi :

« Si vous m’aimez, gardez mes commandements »

la PAIX devra-t-elle attendre le retour du Messie ?

Les prophéties bibliques le laissent craindre ; elles ne sont guère optimistes sur les efforts des hommes pour trouver la paix.

‘La paix, dit notre pape François, n’est pas un équilibre entre des forces contraires. Ce n’est

pas une belle façade, derrière laquelle

il y a des oppositions et des divisions».

« Ils cherchent le salut, et point de salut !

(Ils cherchent la paix, et point de paix !)

Il arrive malheur sur malheur »

(Ézéchiel 7 :25-26)

Elle est un combat quotidien auquel il convie ceux qui croient au ciel comme ceux qui n’y croient pas par ces mots: Tous unis, ou avec la prière ou avec le désir. Mais tous pour la paix.’

C’est pas moi, c’est l’autre !

Mais qui veut la guerre ? le refrain est récurrent : pas le choix, question de vie ou de mort,   c’est l’autre, le camp adverse qui en est responsable!

L’ ennemi est toujours diabolisé pour justifier l’injustifiable et les atrocités.

Combien de temps encore la fin justifiera-t-elle les moyens , les mensonges et les armes prohibées ?

La PAIX du CHRIST

Pas toujours facile d'être en paix avec soi et avec les autres... de trouver le

ressort de la résilience qui nous fera rebondir après des évènements

traumatiques : injustice,  deuil, santé qui se dégrade,  faute passée que nous croyons impardonnable...

La « paix du Christ » va au-delà de ce baiser ou cette poignée de main que l’on échange à la messe car il doit être le signe concret de l’amour mutuel que nous nous portons entre frères et sœurs du Christ…

Pas question d’aller communier sans aimer au-delà des offenses qui nous sont faites et capable de pardonner.

Nous sommes le pari d’un AMOUR qui nous dépasse mais l’Emmanuel, Dieu-parmi-nous, nous apprend que la naissance comme  la mort ne sont que des ‘‘passages’’.

On nait, on meurt mais entre les deux parfois, quel gaspillage...

Nous sommes souvent comme ces enfants au pied du sapin de Noël

qui déchirent le papier cadeau d’impatience puis abandonnent

le jouet amoureusement choisi

pour s’amuser avec l’emballage

et se disputer le bolduc ...

CLIN DIEU de NOËL

Connaissez-vous le code d’accès de la porte du Paradis ?

La nuit venait de tombée, sombre et glaciale, en ce 24 décembre et le petit vendeur de journaux avait si froid dans ses vieux vêtements trop légers qu'il se demandait avec inquiétude comment il allait supporter de passer la nuit dehors, protégé seulement par un carton et quelques journaux. En lui achetant son dernier journal, un homme lui dit :

tu vois cette maison au bout de la rue, frappe à la porte et dis juste: ‘’Matthieu 25.40’’ et on te laissera entrer.

Drôle de mot de passe pensa le garçon, mais il avait trop froid pour ne pas frapper à la porte :

“ Matthieu 25.40 ?” dit-il timidement à la

vieille dame qui l’ouvrit

Entre vite lui dit-elle en le conduisant devant

un grand feu de cheminée.  Il était si gelé que

la dame lui fit prendre un bon bain chaud puis amena des vêtements propres.

As-tu faim ? demanda-t- elle mais sans attendre la réponse, elle avait déjà ajouté une assiette au repas de fête

Comme il était épuisé de sa journée et de tant d’émotions, c’est dans un vrai lit que la dame le laissa ensuite s'endormir, avant de sortir vers l’église toute proche pour la messe de minuit.

Ce n’est que lendemain matin, après un bon petit déjeuner, qu’il remarqua la statuette du bébé

couché dans de la paille, éclairé par des bougies, avec ses parents penchés sur lui.

Elle ouvrit ensuite un gros livre et lut la page qui allait inscrire le mot de passe dans son cœur, car il comprit aussitôt qu'il était ce plus petit évoqué dans sa Bible comme elle l’appelait.

Je ne comprends pas pourquoi Jésus a pu consentir à faire une telle chose, se dit le jeune garçon, comment un Père et tous les anges du ciel ont pu le regarder souffrir et mourir. Je ne comprends pas cet amour immense pour nous, pour moi, un petit garçon de rien du tout,

Sais-tu ce que veut dire Matthieu 25.40 ? lui

demanda la dame gentiment.

Non, Madame...

Alors elle lui raconta l'histoire merveilleuse et

vraie de ce Roi des Rois qui nous aime tous

tellement qu'Il a envoyé son Fils unique, Jésus, devenir ce petit enfant, faible et pauvre comme lui,

pour nous conduire dans son Royaume de bonheur

et d'amour parce que  tous les hommes sont

enfants de Dieu, et donc frères grâce à ce Jésus

qui a donné ensuite sa vie pour eux.

mais en écoutant les paroles de Matthieu 25.40 de la bouche de cette dame, j’ai compris ce qui faisait de nous des frères du Fils de Dieu ! et pourquoi la Dame, en m’accueillant, avait accueillit Celui qui était l’enfant Jésus de la crèche.

Et là, devant la grande et vieille cheminée, le jeune garçon qui fêtait Noël pour la première fois, donna son cœur et sa vie à ce Dieu qu'il découvrait.                    conte de Noël revisité

Des tribus dites primitives se désignaient sous le nom d’hommes par opposition aux autres tribus étrangères qui ne pouvaient être que  les mauvais, les méchants... mais notre humanité ne piétine-t-elle pas  encore aux frontières qu’elle s’est construites ?

En ces temps difficiles qui voudraient remettre en question notre sacro-sainte hospitalité !

Puisse la barbarie de quelques uns ne pas nous détourner de notre volonté

de paix!

‘‘la peur n’évite pas le danger  le courage non plus mais la peur rend faible,

et le courage rend fort.’’

JOYEUX NOEL  ! et MERCI

(et pardon) aux talentueux humoristes auxquels j’emprunte les dessins (en particulier pour les birds) qui ne sont pas responsables des textes des bulles dans ces lettres-hebdo. 

Pour les recevoir : inscription gratuite :

clindieu.com@gmail.com

VOICI NOËL  !

Voici qu'humblement, Dieu se fait petit enfant, Dieu vient naître parmi nous.

Dieu cherche à naître en nous.

Il se peut que le grand problème de notre vie ne soit pas tellement de vivre, mais finalement de naître !

Partout, il est dit que nous avons le mal de vivre : n'aurions-nous pas plutôt le mal de naître ? c'est-à-dire de devenir celui que nous sommes véritablement.

Nous ne sommes pas l'homme que nous paraissons être : célèbre ou inconnu, riche ou démuni, habile ou maladroit...

Tout cela, c'est l'apparence des choses.

Nous sommes un homme, une femme, qui cherche à naître.

Si tu saisis en toi cette pulsation merveilleuse qui te porte à ne pas être aujourd'hui ce que tu étais hier, tu es en train de naître...

Puisses-tu garder de cette nuit la confiante et humble certitude que tu es appelé indéfiniment à être et, tout autant, appelé à faire naître les autres.

Et voici qu'inlassablement, Noël après Noël, jour après jour,

Dieu frappe à ta porte et te demande à naître en toi. 

                                                                                auteur inconnu

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Sans aucunes peurs
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